Apple iPhone 15 Pro
128 Go, Blue Titanium, 6.10", SIM + eSIM, 48 Mpx, 5G
Le titane. Tellement robuste. Tellement léger. Tellement Pro. Le slogan d’Apple pour l’iPhone 15 Pro met l’accent sur le design. Ça peut sembler assez insignifiant, mais quelques éléments ont attiré mon attention.
Nouvelle année, nouvel iPhone. Évidemment, il est meilleur que jamais. Si vous préférez l’écosystème d’Apple, l’iPhone 15 Pro est le meilleur smartphone que vous puissiez acheter. Mais vous saviez déjà tout ça avant de cliquer.
Apple iPhone 15 Pro
128 Go, Blue Titanium, 6.10", SIM + eSIM, 48 Mpx, 5G
Apple iPhone 15 Pro Max
256 Go, Titane naturel, 6.70", SIM + eSIM, 48 Mpx, 5G
La question habituelle est de savoir dans quelle mesure le nouveau produit phare est meilleur que le modèle de l’année précédente, et dans quelles circonstances une mise à niveau en vaut la peine. C’est donc le sujet de mon test d’aujourd’hui. Je profite de l’occasion pour me pencher plus particulièrement sur les trois éléments suivants.
Cela fait au moins dix ans que je n’ai pas utilisé de smartphone sans coque. En général, je range immédiatement mes iPhones dans du cuir ou du silicone. Je me suis donc habitué à une certaine insouciance, même si les appareils coûtent plus de 1000 CHF. Mon iPhone vole régulièrement dans le périmètre aérien du canapé sans causer d’inquiétude outre mesure. Je n’hésite pas à le poser sur des rochers quand je veux faire un enregistrement vidéo stable. Il partage parfois ma poche de pantalon avec un trousseau de clés.
Cette année, lors de la présentation de l’iPhone 15 Pro, Apple a mis l’accent sur le nouveau design. Le cadre est désormais en titane brossé, censé être plus solide que l’ancien en acier inoxydable. De plus, les bords plus arrondis rendent l’appareil plus agréable à prendre en main. Si je mettais l’iPhone dans un étui comme d’habitude, je ne remarquerais absolument rien de tout cela. C’est pourquoi, pour changer, je l’utilise nu, comme Apple l’a créé.
J’aime bien ne pas cacher les couleurs de l’iPhone derrière une coque. Je teste l’iPhone 15 Pro en « titane bleu » et l’iPhone 15 Pro Max en « titane naturel ». J’aime l’esthétique des deux, mais sur le boîtier bleu foncé, on voit trop bien les traces de doigts. L’appareil le plus clair y semble beaucoup moins sensible. Un peu comme une voiture grise sur laquelle on voit à peine la saleté. Comme j’aime bien le gris en général, « titane naturel » est ma couleur préférée cette année.
Sans étui, j’apprécie le toucher agréable des matériaux. Je ne touche que le verre ou le métal, où que ce soit. Le dos mat de l’iPhone 15 Pro est légèrement plus agréable au toucher que celui du 14 Pro. Il en va de même pour le cadre en titane avec sa surface brossée. Grâce à lui, les nouveaux fleurons de la marque sont plus légers de 19 grammes. C’est peu, mais c’est perceptible.
Sans coque, l’iPhone 15 Pro est plus élégant, mais moins pratique. L’adhérence d’un étui me manque. Le verre dépoli et le métal brossé sont plus glissants que le cuir, le silicone ou le tissu. Le smartphone a failli me glisser des mains plusieurs fois. Je suis peut-être maladroit, mais ce n’est qu’une question de temps avant que cette chose ne fasse connaissance avec le sol. Si celui-ci est en pierre, c’est la rayure ou l’écran brisé. Les premiers tests de chute ne mettent pas en valeur le cadre en titane, par rapport à l’ancien en acier inoxydable :
Je me rends rapidement compte que poser l’iPhone sans protection sur des surfaces dures, comme une étagère de cuisine en marbre ou un banc en pierre, est une mauvaise idée. Si j’essaie d’éviter cela, je me sens limité.
Le problème n’est pas seulement le dos du smartphone. Après une sortie au restaurant, je remarque une profonde rayure sur l’écran de mon Pro Max. Je ne sais même pas d’où elle vient. Il y avait probablement une minuscule pierre sur la table, sur laquelle j’ai posé le smartphone avec l’écran vers le bas. Sans la lèvre de protection de la coque, l’écran est en plein contact avec la surface. Une crevasse aussi profonde me paraît néanmoins surprenante. Ce n’est pas un bon point pour le Ceramic Shield d’Apple.
En fin de compte, le risque de dommages et le montant potentiel des réparations sont bien trop élevés sans enveloppe. Si vous voulez reproduire mon essai, je vous conseille de mettre un verre de protection sur la face avant. Tout comme un étui, vous pouvez le remplacer pour 30 CHF. Le remplacement d’un écran rayé coûte plusieurs fois ce montant. Une semaine plus tard, mon iPhone est à nouveau dans sa coque, rendant redondante la superbe haptique de l’appareil.
Le nouveau bouton Action pourrait être plus utile que le design. Sur le modèle Pro, il remplace l’ancien bouton du silencieux et peut être paramétré individuellement. Il s’active en exerçant une pression prolongée, à laquelle vous obtenez un retour haptique. Le point de pression et la longueur sont parfaitement calibrés. Il n’est pas nécessaire d’appuyer longtemps sur le bouton et pourtant, je ne l’active jamais par erreur.
Vous pouvez attribuer les fonctions suivantes au bouton Action :
Je commence par l’appareil photo. Je trouve que le bouton placé en haut à gauche est situé au mauvais endroit. Il est difficilement accessible lorsque je tiens le smartphone normalement, surtout avec l’iPhone 15 Pro Max. J’aurais préféré si Apple avait déplacé le bouton Action en bas à droite, comme Sony avec l’appareil photo du Xperia 1 V. Pour l’instant, j’utilise donc le bouton pour la lampe de poche. Peut-être trouverai-je bientôt une application plus utile.
Les nouveaux iPhones sont équipés d’un port USB-C. Apple n’a probablement pas adopté ce connecteur de manière totalement volontaire. Le fait que l’UE ait quasiment forcé l’entreprise californienne à le faire m’inspire un peu de taquinerie que je vais garder pour moi, car Apple a très bien implémenté cette nouveauté sur le modèle Pro. Tout d’abord, le port est rapide pour un smartphone, avec 10 gigabits par seconde (Gb/s). Deuxièmement, il n’y a pas de blocages artificiels ou de problèmes de compatibilité.
Je peux charger l’iPhone avec n’importe quel câble USB-C ou adaptateur secteur que je possède, qu’il s’agisse d’Apple ou d’un autre fabricant. C’est aussi pratique que ça en a l’air. Je n’ai enfin plus besoin que d’un seul jeu de chargeurs et de câbles pour tous mes appareils pendant les vacances. J’aime encore plus la longue liste de choses qui fonctionnent avec le nouveau connecteur de l’iPhone 15 Pro :
Le dernier point en particulier me surprend. Théoriquement, avec une station d’accueil, l’iPhone 15 Pro peut être utilisé comme un ordinateur. Bien entendu, seul iOS continue de fonctionner sur l’appareil, ce qui en limite l’utilité. Vous pourriez toutefois rédiger des textes ou surfer sur le web sur un écran externe.
Pour de telles applications ou un transfert de données rapide, vous aurez besoin de vous procurer un câble USB-C performant. Celui qui est fourni ne prend en charge que l’USB 2.0, ce qui correspond à 0,5 Gb/s. Apple a tout de même doté le câble d’une gaine en textile, ce qui le rend souple et évite de le plier.
Pour la première fois depuis trois ans, le module photo de l’iPhone Pro diffère de celui du Pro Max. Pour ce dernier, Apple intègre désormais un zoom 5x. Ou, dans le langage des longueurs focales plein format : 120 millimètres. Grâce à sa nouvelle construction, l’objectif a tout de même une ouverture de ƒ/2.8. Le capteur d’image est même 25 pour cent plus grand que le fameux zoom 3x (77 mm) qu’Apple intègre, cette année encore, dans le plus petit modèle Pro.
Le matériel de l’appareil principal et de l’appareil photo grand-angle n’a pas changé. Voici les spécifications dans l’aperçu :
Dans mon essai de l’iPhone 14 Pro, j’écrivais l’année dernière qu’Apple n’exploitait pas encore pleinement le potentiel de son capteur de 48 mégapixels. C’est précisément sur ce point que l’iPhone 15 Pro fait des progrès. Bien que l’appareil principal soit physiquement le même que sur le modèle précédent, il prend de meilleures photos, du moins au format HEIF, que la plupart des gens utilisent au quotidien.
La première mise à niveau est la résolution supérieure. Les images de l’appareil photo principal proposent désormais 24 mégapixels au lieu de 12. Ainsi, le niveau de détail est plus élevé. Pour autant, comme Apple utilise par défaut le format HEIF plus efficace que le format JPG, le volume de données généré n’est pas excessif. Une image de 24 mégapixels prise par l’appareil principal pèse environ trois mégaoctets, pour deux mégaoctets avec douze mégapixels.
Je trouve très réussi le nouveau choix de longueurs focales proposées avec l’appareil principal. En plus du 24 millimètres normal, je dispose d’une alternative de 28 ou 35 millimètres. Cela correspond à un zoom de 1,2 et 1,5 fois. Au format HEIF normal, le résultat final est une image de 24 mégapixels pour les trois longueurs focales. Ce faisant, Apple exploite toutes les possibilités offertes par le capteur haute résolution. En comparaison directe, une image prise en mode 35 mm a plus de détails qu’une image 24 mm recadrée numériquement. Dès que je passe en mode Raw (« ProRAW Max »), l’avantage disparaît. En plus de ce dernier, Apple propose désormais un format pour la pleine résolution en HEIF (« HEIF Max »).
Autre fonctionnalité logicielle que je trouve très utile : dès que l’iPhone 15 estime qu’une scène mérite d’être photographiée en portrait, il enregistre automatiquement ce que l’on appelle la carte de profondeur. Celle-ci collecte l’information sur la distance qui sépare les objets de l’appareil photo. Vous pouvez ainsi choisir ultérieurement quel objet vous voulez voir net et à quel point l’arrière-plan doit être flou. C’est beaucoup plus pratique que de devoir activer le mode portrait pendant la prise de vue.
Depuis iOS 17, vous pouvez d’ailleurs aussi ajuster la profondeur de champ dans l’édition avec l’iPhone 13 et 14, mais uniquement pour les images photographiées en mode portrait. Le mode automatique pendant la prise de vue ne fonctionne qu’avec les nouveaux modèles.
C’est sur l’appareil grand-angle qu’il y a le moins de choses à dire. Il reste le même. De toute façon, c’est l’option que j’utilise le moins. Je continue à trouver la focale de 13 millimètres trop courte. Elle entraîne de fortes distorsions sur les bords de l’image et génère une esthétique rapidement obsolète. Je préfèrerais une valeur comprise entre 16 et 18 millimètres. Un capteur plus grand permettrait une meilleure qualité d’image.
Les longues distances focales dans les petits appareils sont un défi technique. Si le facteur de zoom augmente, il y a deux possibilités avec une construction classique. Soit l’objectif est de plus en plus proéminent, ce qui est en contradiction avec le facteur de forme d’un smartphone ; soit on installe un capteur de plus en plus petit, mais la qualité d’image diminue.
De nouveaux concepts tentent de contourner ces deux inconvénients. Samsung utilise par exemple un appareil photo périscopique dont l’objectif est intégré longitudinalement dans l’appareil pour le Galaxy S23 Ultra. Apple s’inscrit dans la même veine avec le nouveau téléobjectif de l’iPhone 15 Pro Max. Il fait passer la lumière à travers un tétraprisme, dans lequel il parcourt un chemin plus long, exactement comme dans un périscope. En fin de compte, cela permet d’obtenir une distance focale de 120 millimètres (ou un zoom 5x), et un capteur plus grand que celui du petit modèle Pro malgré tout.
Je trouve le résultat réussi. La qualité d’image est bonne et 120 millimètres représentent une longueur focale utile, notamment pour les portraits, les photos de sport ou les paysages sous une nouvelle perspective. La question de savoir si le facteur de zoom plus important est effectivement plus pratique que le téléobjectif de 77 mm de l’iPhone 15 Pro normal dépend toutefois fortement de la situation. J’ai trouvé le zoom 5x du Pro Max super pour les photos d’escalade depuis le mur, mais trop réduit pour les photos en escalade de bloc.
Malheureusement, les modes 28 et 35 mm ne peuvent pas être utilisés pour les vidéos. Il est probable que même avec la nouvelle puce, la puissance de calcul ne soit pas suffisante pour cela. En revanche, l’iPhone 15 Pro a un autre atout dans sa manche, cette année. Il peut enregistrer au format ProRes avec un profil couleur log, directement sur la mémoire de l’appareil, en 4K avec jusqu’à 30 images par seconde (fps), sur un SSD externe même avec jusqu’à 60 fps.
Qu’est-ce que cela signifie ? Un profil de couleur log a une courbe de contraste très plate. Une vidéo brute aura donc l’air délavée et sous-saturée. C’est intentionnel, car l’avantage est une plus grande plage dynamique. Cela signifie que les zones sombres s'assombrissent moins vite et que les zones claires s'éclaircissent moins vite. Dans les deux cas, aucune structure ne serait reconnaissable. Le profil log n’ajoute pas non plus de netteté et évite ainsi l’aspect artificiel d’une vidéo iPhone au format normal.
Pour que de telles prises de vue aient un bel aspect à la fin, vous devez les traiter dans un programme de montage comme DaVinci Resolve. Cela permet d’ajouter du contraste, de la saturation et de la netteté avec moins de perte de qualité et un meilleur équilibre. Le résultat final est une vidéo qui, surtout sur un grand écran, est nettement plus belle que les enregistrements habituels réalisés avec un smartphone. Avec un peu de pratique, le matériel se mélange bien avec les vidéos d’une grande caméra.
Les vidéos ProRes en profil log présentent toutefois un inconvénient majeur : les fichiers sont gigantesques. Une minute en 4K à 30 fps nécessite 5,5 gigaoctets de mémoire. Avec 60 fps, c’est 11 gigaoctets. Cela est également dû au fait qu’Apple ne propose dans sa propre application appareil photo que le format ProRes dans la qualité la plus élevée. Le ProRes LT, plus fortement compressé, est également disponible dans des applications tierces. Quoi qu’il en soit, si vous avez l’intention de filmer des vidéos de logs, il vaut mieux que vous achetiez un iPhone avec beaucoup de mémoire.
L’A17 Pro est la toute première puce Apple à être fabriquée selon un processus de 3 nanomètres. Selon le fabricant, ce procédé la rend plus rapide et plus efficace. Elle devrait donc fournir plus de puissance de calcul que l’ancienne A16 Bionic, tout en consommant autant d’énergie. En effet, la nouvelle puce obtient des scores plus élevés dans Geekbench 6. Les performances du processeur augmentent de 10 pour cent en simple cœur et de 4 pour cent en multicœur. Le GPU est également très performant. Sur ce plan, l’iPhone 15 Pro Max bat l’iPhone 15 Pro de quelques points. Il est probable que la face arrière plus grande évacue mieux la chaleur.
Au quotidien, je remarque les meilleures performances, par exemple dans l’application Appareil photo. Les images Raw sont enregistrées plus rapidement qu’avec l’iPhone 14 Pro. La nouvelle puce prend également en charge le ray tracing accéléré par le matériel. Apple promet de lancer prochainement plusieurs jeux utilisant la puissance graphique supplémentaire de l’A17 Pro. Assassin’s Creed : Mirage et Resident Evil Village devraient fonctionner en natif sur l’iPhone avec un bon rendu visuel. À quel point, je testerai quand les jeux seront disponibles.
Les titres qui étaient jusqu’à présent exigeants, comme Genshin Impact fonctionnent de manière fluide. Si vous aimez les jeux mobiles, l’iPhone 15 Pro Max est un véritable ordinateur de poche. Pour cela, je vous recommande vivement d’utiliser une manette comme le Backbone One. La version USB-C fonctionne également sous iOS. Toutefois, si vous possédez une version avec un ancien firmware, vous devrez d’abord la mettre à jour avec un smartphone Android.
En ce qui concerne les haut-parleurs de l’iPhone 15 Pro, je ne constate aucun changement par rapport au modèle de l’année dernière. Ils sont toujours très bons, pour un smartphone.
L’écran OLED n’a pas changé non plus. Il est net (460 pixels par pouce), lumineux (2000 cd/m² max.) et fluide (10-120 hertz). La fonction Toujours activé peut être quelque peu adaptée depuis iOS 16.2, mais je ne l’utilise tout de même pas, personnellement.
L’autonomie de la batterie est à peu près la même que l’année dernière. Le Pro Max peut facilement tenir deux jours en utilisation modérée, et même en utilisation de test intensive, il lui reste entre 20 et 30 pour cent le soir. Comme toujours, le plus petit modèle tient moins longtemps, mais en utilisation normale, il tient une journée entière sans problème. Pour un test comparatif détaillé avec les modèles précédents, je vous recommande la vidéo suivante de Mrwhostheboss.
J’ai commencé cet essai avec trois questions ; voici mes trois réponses.
L’iPhone 15 Pro poursuit la tendance de ces dernières années. Il est un peu meilleur sous de nombreux aspects et ajoute quelques nouvelles fonctionnalités. Certaines d’entre elles sont bien mises en œuvre, comme l’USB-C ou les vidéos au profil de couleur log. D’autres, comme le bouton Action mal placé, ne me convainquent pas totalement. Il n’y a pas vraiment de nouveauté renversante. Au lieu de cela, le produit phare d’Apple donne tout simplement l’impression d’être un peu plus complet que le dernier modèle.
Devriez-vous l’acheter ? Comme toujours, cela dépend : une mise à niveau depuis l’iPhone 14 Pro n’en vaut définitivement pas la peine. La différence est bien trop petite pour cela. La différence avec les deux générations précédentes est aussi minime. Si vous voulez passer d’Android à un nouvel iPhone ou si vous avez besoin d’un nouvel iPhone maintenant pour d’autres raisons, je ne vous conseillerais toutefois pas de choisir un ancien modèle. Le prix de lancement de l’iPhone 15 est exceptionnellement bas en raison du taux de change avantageux et il conserve sa valeur plus longtemps.
Vous voulez un téléobjectif, un écran de 120 hertz, la puce prenant en charge le ray tracing ou le nouveau bouton Action ? Dans ce cas, l’iPhone 15 Pro et Pro Max sont d’excellents smartphones qui ne vous décevront pas. Si vous n’avez pas besoin de ces quatre fonctionnalités, le modèle standard de cette année est un choix plus raisonnable. Vous en apprendrez plus prochainement dans l’essai de mon collègue Florian Bodoky, ou dès maintenant dans notre nouveau podcast.
Mon empreinte digitale change régulièrement au point que mon MacBook ne la reconnaît plus. Pourquoi ? Lorsque je ne suis pas assis devant un écran ou en train de prendre des photos, je suis probablement accroché du bout des doigts au beau milieu d'une paroi rocheuse.