Test de produit

Microsoft Surface vs. Apple MacBook

Samuel Buchmann
29/11/2023
Traduction: Martin Grande

L’ordinateur portable de luxe de Microsoft peut-il rivaliser avec le MacBook Pro ? La comparaison serrée en apparence se solde par une démonstration de force.

Le Surface Laptop Studio 2 est la réponse de Microsoft au MacBook Pro d’Apple. Un ordinateur portable haut de gamme aussi raffiné que coûteux. L’appareil Windows est équipé d’un processeur Intel et d’une carte graphique Nvidia de dernière génération. Il y a quelques semaines, Apple a également équipé son MacBook de nouvelles puces.

Que donne la comparaison directe ? Le Surface se trouve dans sa configuration haut de gamme à 3195 francs suisses, avec 64 Go de RAM et une carte graphique dédiée. Mon appareil de test Apple à 2589 francs suisses comporte la puce M3 Pro et 18 Go de RAM. Il est donc un peu plus de 600 francs moins cher.

Je suis conscient qu’il existe d’innombrables facteurs qui poussent à opter pour l’un ou l’autre système d’exploitation. Néanmoins, mon expérience porte sur autre chose. Aujourd’hui, je me concentre sur les différences matérielles. Voici le test complet et détaillé du Surface Laptop Studio 2 par notre collègue Martin Jud ici. D’autre part, vous retrouverez mon test individuel du MacBook Pro ici.

Design et finition : Microsoft peut le faire aussi

Le boîtier du MacBook Pro, usiné dans un bloc d’aluminium, est emblématique. Sans rancune, Microsoft lui emboîte le pas et le Surface Laptop Studio 2 est lui aussi entièrement en aluminium à l’extérieur et bénéficie de la même finition. Les dimensions, les résistances des charnières, et les aimants qui maintiennent l’écran dans différentes positions sont parfaits. Magnifique.

J’aime bien le design du Surface Laptop Studio 2. Grâce à son mécanisme de pliage astucieux, il se transforme en tablette. Dans cette position, l’écran s’amarre magnétiquement au-dessus du pavé tactile.
J’aime bien le design du Surface Laptop Studio 2. Grâce à son mécanisme de pliage astucieux, il se transforme en tablette. Dans cette position, l’écran s’amarre magnétiquement au-dessus du pavé tactile.
Source : Samuel Buchmann

Il n’y a que deux choses que je préfère sur le MacBook. Ses bords extérieurs sont arrondis, ce qui rend l’ordinateur agréable au toucher lorsqu’il est fermé. On pourrait couper des légumes avec les bords tranchants du Surface. Et puis les bords autour de l’écran de ce dernier sont assez larges, ce qui semble moins moderne que le MacBook.

Deuxièmement, l’ordinateur de Microsoft est plus épais et plus lourd. Il pèse 1,98 kilogramme avec la carte graphique dédiée, soit 370 grammes de plus que le MacBook Pro qui pèse 1,61 kilogramme. L’écran tactile doté du mécanisme de pliage est effectivement plus épais que l’écran d’Apple et le CPU et la carte graphique ont besoin de plus d’espace et d’un plus grand système de refroidissement.

Le MacBook (à gauche) est plus fin de 6 millimètres que le Surface et ses bords extérieurs sont plus arrondis.
Le MacBook (à gauche) est plus fin de 6 millimètres que le Surface et ses bords extérieurs sont plus arrondis.
Source : Samuel Buchmann

Dans le système sur une puce (SoC) d’Apple, tous les composants sont intégrés de manière compacte sur un circuit imprimé. Cela laisse plus de place à la batterie. Sa capacité est de 70 wattheures (Wh) sur le MacBook Pro et de seulement 58 Wh sur le Surface.

Équipement : Surface bien, MacBook mieux

Auparavant, les MacBooks étaient tristement célèbres pour leur faible nombre de ports. Je regardais avec envie la concurrence Windows à chaque fois que je devais connecter une carte SD via un dongle. Aujourd’hui, c’est l’inverse, du moins pour mes deux appareils de test. Le MacBook a une longueur d’avance presque partout. Il a même un port HDMI, qui manque au Surface, tout comme le port Thunderbolt 4 sur le côté droit. Le slot de carte d’Apple mange les cartes SD normales tandis que celui du Microsoft n’a d’appétit que pour les MicroSD. Le seul avantage du Surface est son port USB A.

Aperçu des spécifications :

L’authentification par reconnaissance faciale de Microsoft fonctionne très bien. Cette fonction me manque cruellement sur le MacBook de troisième génération. Il y aurait pourtant suffisamment de place dans l’écran et Apple pourrait adapter la technologie de l’iPhone.

L’écran du MacBook est clairement supérieur à celui du Surface. En revanche, contrairement à Microsoft, Apple n’intègre pas de capteurs FaceID.
L’écran du MacBook est clairement supérieur à celui du Surface. En revanche, contrairement à Microsoft, Apple n’intègre pas de capteurs FaceID.
Source : Samuel Buchmann

En ce qui concerne la qualité d’image, le Surface ne peut pas rivaliser. Le MacBook est doté d’un mini-écran LED avec plus de 2000 zones de local dimming. Il contrôle individuellement l’éclairage dans de petites zones, ce qui permet d’obtenir un meilleur noir et un meilleur contraste en général. La dalle IPS de Microsoft avec rétroéclairage normal est nettement moins bonne. Je remarque un contraste délavé dans les zones sombres de l’image, en particulier lorsque la lumière ambiante est faible. La couverture de l’espace colorimétrique est également moins bonne (voir tableau ci-dessus).

Le Surface est doté d’un écran tactile. Je ne veux pas le faire parce que les empreintes me rendraient fou, mais bon, ce n’est pas de la faute de l’ordinateur si je souffre de troubles obsessionnels compulsifs. Je connais même des gens qui apprécient les écrans tactiles. L’écran réagit également aux saisies effectuées avec le Surface Pen, qui n’est toutefois pas inclus.

Entièrement rabattue, la Surface est une mégatablette très performante, produit introuvable chez Apple.
Entièrement rabattue, la Surface est une mégatablette très performante, produit introuvable chez Apple.
Source : Samuel Buchmann

La fiabilité et la précision du pavé tactile d’Apple sont inégalées, même s’il faut dire que le Surface s’en rapproche beaucoup. Tout comme le MacBook, il n’a plus de touches physiques, mais simule un retour haptique grâce à de petits moteurs situés sous le pavé tactile. Le clavier de Microsoft offre un peu plus de résistance et de course de frappe que celui d’Apple. Je préfère les touches plus soft du MacBook, mais c’est une question de goût. Les haut-parleurs sont également d’une qualité satisfaisante sur les deux laptops. Dans les basses fréquences, le MacBook a un meilleur son.

Performance : force brute vs finesse

Les deux appareils sont équipés de puces de classe moyenne supérieure. Chez Apple, le CPU et le GPU sont intégrés sur un seul circuit imprimé. Le M3 Max aurait assez de place dans le boîtier du M3 Pro. Il offre des performances encore meilleures, mais il est aussi plus cher. De plus, mon appareil de test ne dispose que de 18 gigaoctets (Go) de mémoire unifiée, que je pourrais étendre à 36 Go.

Le MacBook Pro peut également être équipé du M3 Max dans les deux tailles. Le Surface n’existe pas avec des performances supérieures à celles de ma configuration de test.
Le MacBook Pro peut également être équipé du M3 Max dans les deux tailles. Le Surface n’existe pas avec des performances supérieures à celles de ma configuration de test.
Source : Samuel Buchmann

Le Surface dispose de 64 Go de RAM, ce qui devrait être un avantage dans certains tests de performance. Les cartes graphiques installées dans ma configuration sont aussi bien une Intel Iris Xe intégrée qu’une Nvidia RTX 4060 portable dédiée. Sur d’autres ordinateurs portables, il y aurait des GPU encore plus puissants, qui coûteraient donc plus cher. Il en va de même pour le CPU, un Intel Core i7-13700H. Elle est issue de la dernière génération, cependant les Core i9 ou les AMD Ryzen 9 sont encore supérieures.

Au sein de leur univers système respectif, je classerais la configuration globale du Surface à peu près au même niveau que le M3 Pro d’Apple.

Tests de performance : au coude à coude

Les tests de performance synthétiques donnent une première impression des CPU et GPU, même s’ils sont généralement optimisés, soit un des deux systèmes d’exploitation. Je passe donc aux tests. L’ordinateur portable Windows est paramétré sur « meilleures performances ». Sur les premiers graphiques, je vous présente les scores moyens relatifs. Vous pouvez voir les résultats des tests individuels en cliquant sur les flèches.

Le CPU du M3 Pro est plus rapide que l’Intel Core i7-13700H. Tant que le Surface Laptop Studio 2 est branché sur le secteur, son retard n’est que de 11 pour cent, mais il passe à 21 pour cent sur batterie. Sur le MacBook, les performances restent identiques, même sans alimentation électrique. Le score inférieur du Core i7 est notamment dû aux tests plus longs, à savoir le Cinebench R23 qui dure 10 minutes et le Cinebench R24. Dans ces cas, le processeur devient trop chaud et doit ralentir.

Le GPU du Surface ralentit aussi quand il tourne sur batterie. Par rapport au MacBook Pro, il est tout de même 22 pour cent plus rapide. Quand il est branché, ce sont même 35 %. Attention, ces résultats sont moins pertinents que pour le processeur. Les unités graphiques sont optimisées pour différentes interfaces de programmation. Malheureusement, il n’existe guère de test de performance qui offre la meilleure interface pour chacun des deux systèmes.

Le nouveau test de performance GPU Cinebench R24 utilise le ray tracing. Alors que Nvidia le supporte depuis longtemps, Apple le propose pour la première fois avec ses nouveaux GPU M3. Les puces de l’ancienne génération seraient ici nettement plus en retrait par rapport à la RTX 4060. Quoi qu’il en soit, la carte graphique de Nvidia a l’avantage.

Dans l’ensemble, les deux appareils sont donc à peu près à égalité dans les tests synthétiques. Alors que le MacBook a le CPU le plus rapide, le Surface l’emporte en ce qui concerne les performances graphiques. Il n’a toutefois plus de marge de manœuvre vers le haut, alors que chez Apple, je peux dépenser un peu plus pour avoir le M3 Max. Le prix du MacBook Pro monterait certes à plus de 4000 francs suisses, mais il serait compétitif dans tous les tests sans exception.

Concrètement : l’optimisation fait la différence

Dans les applications pratiques, les différences augmentent parfois massivement, même avec la puce M3 Pro. L’exportation de mon projet test de 11 minutes dans DaVinci Resolve Studio prend moins de la moitié du temps avec le MacBook Pro qu’avec le Surface Laptop Studio 2. Le moteur multimédia dédié d’Apple fait un travail remarquable.

Un écart similaire est observé lors de l’exportation de 200 images RAW dans Lightroom où le M3 Pro est 150 %. Ce résultat me surprend, car Lightroom exploite une grande quantité de RAM et l’appareil de test d’Apple n’a que 18 Go. L’ordinateur portable Windows dispose de 64 Go au total. Le point faible semble être le système de refroidissement surchargé, car la tâche nécessite beaucoup de puissance du processeur pendant plusieurs minutes.

Le GPU Nvidia est en tête des performances graphiques dans la plupart des cas. La réduction du bruit assistée par l’IA dans Lightroom fonctionne 55 pour cent plus rapidement avec le Surface, un rendu basé sur le GPU dans Blender prend deux fois moins de temps. Cela est dû d’une part à la puissance présumée plus élevée de la RTX 4060. D’autre part, l’interface OptiX de Blender pour les cartes graphiques Nvidia est sans doute mieux optimisée que la prise en charge relativement récente de Metal par le programme.

Dans le programme de rendu 3D Blender, le GPU Nvidia a l’avantage, du moins par rapport au M3 Pro.
Dans le programme de rendu 3D Blender, le GPU Nvidia a l’avantage, du moins par rapport au M3 Pro.
Source : Samuel Buchmann

Et les jeux vidéo ? La comparaison est particulièrement difficile, car il n’existe pratiquement pas de jeux fonctionnant nativement sur les puces M d’Apple. L’un d’entre eux est No Man’s Sky, qui ne propose toutefois pas de test de performance normalisé. Je joue donc manuellement la même scène sur les deux ordinateurs portables avec les mêmes paramètres graphiques et j’observe le taux de rafraîchissement. Les résultats ne sont pas une science exacte, mais le MacBook Pro s’en sort bien. Il ne se situe qu’à environ 10 pour cent derrière le Surface Laptop Studio 2.

Dans un jeu natif comme « No Man’s Sky », le M3 Pro rivalise avec la RTX 4060.
Dans un jeu natif comme « No Man’s Sky », le M3 Pro rivalise avec la RTX 4060.
Source : Samuel Buchmann

Dans Shadow of the Tomb Raider, l’écart est plus important. Surtout si l’ordinateur portable de Microsoft est branché. Il atteint alors 87 pour cent de fps de plus que le MacBook. Cela est dû au fait que ce dernier doit traduire le jeu de l’architecture x86 à l’architecture Arm via Rosetta 2. Il faudrait donc un M3 Max plus puissant pour tenter de battre le Surface.

Températures et refroidissement : le Surface a besoin de beaucoup d’air

Le MacBook Pro reste silencieux et froid pendant les travaux quotidiens. Même Lightroom le dérange à peine. En revanche, le Microsoft Surface Laptop 2 lance le ventilateur dès je le configure et télécharge quelques programmes. On se rend vite compte à quel point les puces x86 sont inefficaces dans ce boîtier. Elles se réchauffent plus et ont donc besoin de plus de refroidissement. Même en bureautique, le repose-mains devient sensiblement chaud.

À pleine puissance, le boîtier du MacBook Pro (à droite) se réchauffe également. Contrairement au Surface, les points chauds se trouvent plutôt à l’arrière.
À pleine puissance, le boîtier du MacBook Pro (à droite) se réchauffe également. Contrairement au Surface, les points chauds se trouvent plutôt à l’arrière.
Source : Samuel Buchmann

Les fentes d’aération se situent sur le côté de l’ordinateur portable de Microsoft. Lorsque je travaille avec une souris, l’appareil me souffle de l’air chaud sur la main, comme vous pouvez le voir sur l’image thermique. Sur le MacBook, la ventilation se trouve à l’arrière et est moins gênante. Il faut dire que cela se produit moins souvent et, de surcroît, ce n’est jamais aussi bruyant qu’avec le Surface. La vidéo suivante, avec une sensibilité constante du microphone, montre la différence de niveau sonore à pleine puissance.

L’autonomie : la démonstration de force d’Apple

Amateurs et amatrices de Windows, soyez forts. J’en viens à l’autonomie de la batterie. La chaleur dégagée par la Surface est due à un besoin énergétique plus important. L’ordinateur portable Windows grignote sa batterie aussi vite que Bugs Bunny dévore sa carotte. Sur YouTube en 1440p avec une luminosité d’écran moyenne, il ne tient que 8 heures. En mode d’économie d’énergie et fréquence d’image de 60 hertz.

Pour sa part, le SoC M3 Pro d’Apple est un miracle d’efficacité. Le MacBook Pro de 14 pouces atteint 25 heures dans le même scénario. Plus de 200 pour cent de plus, alors que la batterie n’a que 20 pour cent de capacité en plus.

À l’effort maximal, l’ordinateur portable Windows est encore plus mal en point. Pour mes essais de MacBook, j’exporte toujours la même vidéo cinq fois dans DaVinci et je regarde combien de pour cent de batterie il me reste. Pour le Surface, je dois adapter ma méthodologie, car elle est descendue à 15 pour cent après seulement deux exportations. Le MacBook a encore 91 pour cent de batterie après la même tâche. Grâce aussi à l’efficacité du moteur média d’Apple.

Un essai dans l’autre sens montre encore plus clairement l’ampleur de l’humiliation : avec une charge de batterie, le Surface peut exporter 2293 images dans Lightroom, puis le four s’éteint. Le MacBook n’abandonne qu’après 14 577 images. Plus de 500 % de plus. Cinq cents !

Ce n’est qu’en jouant avec la luminosité maximale de l’écran que je trouve une application qui terrasse le MacBook. Après 93 minutes de No Man’s Sky, la batterie est enfin vidée. Le Surface en fait à peine la moitié en réduisant nettement le taux de rafraîchissement pendant les derniers 20 pour cent, sans que je puisse y faire quoi que ce soit.

Bilan : une barre quasi hors de portée

D’un point de vue purement esthétique, le Surface Laptop Studio 2 de Microsoft rivalise avec le MacBook Pro d’Apple. La finition de haute qualité est similaire chez les deux fabricants. En ce qui concerne les fonctionnalités, les différences peuvent également être classées dans la catégorie « affaire de goût ». Le Surface possède un écran tactile avec un mécanisme de pliage bien pensé, le MacBook a en revanche un meilleur écran. Je trouve également que le clavier, le pavé tactile et les haut-parleurs d’Apple sont tous plus sophistiqués, mais l’avance est faible. La différence de poids est plus importante. Le MacBook prend le départ avec 370 grammes de moins.

À l’intérieur, l’ordinateur portable de Microsoft est comme une muscle car avec un moteur monstre gourmand et un petit réservoir qui tient à peine le temps de l’apéro. Les puces x86 d’Intel et de Nvidia tiennent certes la comparaison avec le M3 Pro d’Apple sur le plan purement technique des performances avec un CPU plus lent et un GPU plus rapide. Cela dit, le Surface consomme beaucoup plus d’énergie et comporte une batterie plus petite malgré un boîtier plus grand. Par conséquent, termes d’autonomie, le MacBook Pro ne laisse pas seulement la concurrence Windows loin derrière lui. Il la dépose et ne voit vite plus qu’un petit point dans son rétroviseur. Que ce soit pour des tâches légères ou à pleine puissance.

L’ordinateur portable de Microsoft peut rivaliser en termes de performances selon l’application, mais il convertit beaucoup plus d’énergie en chaleur perdue. Loin d’une prise de courant, le MacBook ne joue pas dans la même cour.
L’ordinateur portable de Microsoft peut rivaliser en termes de performances selon l’application, mais il convertit beaucoup plus d’énergie en chaleur perdue. Loin d’une prise de courant, le MacBook ne joue pas dans la même cour.
Source : Samuel Buchmann

En raison de l’architecture inefficace de la puce, le système de refroidissement du Surface Laptop Studio 2 doit travailler dur pour que le processeur et la carte graphique ne surchauffent pas. Le facteur de forme de l’ordinateur portable ne permettrait pas de supporter des composants encore plus puissants. Il en va autrement du MacBook Pro. Il reste généralement silencieux et peut également être configuré avec une puce M3 Max. Certes, l’appareil d’Apple coûte plus de 4000 francs suisses, mais il détrône définitivement le Surface, même en termes de performances.

Ce test comparatif n’est pas parfait et il y a d’autres ordinateurs portables Windows qui sont plus puissants. Cependant, ils sont plus grands et souffrent tous du même problème énergétique. Seul Apple réussit actuellement le triptyque taille compacte, performances élevées et autonomie de batterie exceptionnelle. Le MacBook Pro est la définition de l’ordinateur portable haut de gamme et place la barre à une hauteur presque inaccessible pour la concurrence.

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