Guide
Trois lampes de moniteur pas chères : laquelle choisir ?
par Lorenz Keller
Dans cette série, la rédaction vous présente l’équipement qu’elle utilise au quotidien, que ce soit pour travailler ou pour jouer. Mon lieu de travail est mon antre de bureau, dans lequel je peux travailler de manière très concentrée.
Six heures, une nouvelle journée de travail commence. C’est à ce moment-là que j’arrive le mieux à me concentrer. J’allume la barre d’écran, le reste du bureau est encore dans la pénombre. Je tape une fois sur le clavier, le MacBook se réveille lui aussi. Je saisis le mot de passe, je remplis mon verre d’une boisson énergisante. C’est parti pour ce texte.
Ma barre d’écran est sans aucun doute l’accessoire le plus important de mon bureau. Elle est placée directement au-dessus de l’écran, ce qui permet d’éclairer le bureau par le haut, sans que les LED se reflètent dans l’écran ou m’éblouissent.
Je pourrais me passer de tout mon matériel de bureau, mais je ne rendrais la barre d’écran pour rien au monde. Justement, mon premier article chez Digitec Galaxus parlait précisément de cette lampe. J’ai un modèle de BenQ qu’on ne trouve plus aujourd’hui. Il existe maintenant des successeurs sans fil avec télécommande. Ma lampe a encore un câble.
D’ailleurs, on trouve actuellement des barres d’écran bien meilleur marché. J’ai aussi écrit un article à ce sujet.
J’ai acheté mon écran sur un coup de tête ; je n’ai pas pu résister à son prix. Le LG UltraGear 34GL750-B était une vraie aubaine.
Je n’ai jamais voulu dépenser une fortune pour un grand écran, d’autant plus qu’à l’époque, je ne faisais pas beaucoup de télétravail. Mais impossible de résister à un écran de 34 pouces à 280 francs suisses ; une occasion unique ! Aujourd’hui encore, le LG me rend de bons services.
Je n’exploite cependant pas tout son potentiel. Avec un taux de rafraîchissement de 144 hertz et un temps de réaction court d’une milliseconde, il serait très adapté aux jeux. Chez moi, il ne sert « qu’à » afficher les applications de bureau.
C’est à cause du montage vidéo que j’en suis venu au Mac. Il y a un an et demi, je me suis offert un MacBook Pro à processeur M2, qui a fait ses preuves aussi bien pour mon travail de tous les jours qu’en déplacement lors de salons et de conférences de presse.
J’utilise surtout la puissance de calcul pour Photoshop et Premiere Pro ; c’est-à-dire pour le traitement des images et le montage vidéo. Ma fonctionnalité préférée : le slot pour carte mémoire, que j’utilise quotidiennement pour transférer des images de mon Sony Alpha ZV-E10.
Si vous regardez bien, vous l’avez peut-être déjà repéré. Un Move de Sonos, sur lequel je diffuse de la musique depuis mon téléphone portable, est caché derrière l’écran. L’enceinte est parfaite pour un bureau de petite taille et, si je le veux, je peux aussi la connecter à mon MacBook. Un bonus assez sympa : grâce à sa batterie intégrée, je peux même placer le Move sur le balcon.
Si je ne suis pas seul dans mon bureau, j’utilise le Sony WH-1000XM5. Sa réduction de bruit environnant est efficace. C’est la raison pour laquelle il m’accompagne toujours lorsque je vais au bureau ou ailleurs. Il compte parmi mes meilleurs amis.
Pour les oreilles, j’ai un autre compagnon de longue date, dont l’usure ne passe pas inaperçue. Pour les appels et les enregistrements audio, j’utilise principalement le casque filaire Sony d’un rouge vif. Les coussinets commencent à se détacher, je vais donc devoir les remplacer sous peu.
Mon patron Simon, qui a longtemps travaillé dans la radio, m’a conseillé pour le micro. Rien de bien excitant, juste une technique solide, suffisante pour enregistrer une voix off pour des vidéos. Le microphone Rode NT-USB est suspendu à un bras Speedlink bon marché.
Je ne suis pas très exigeant en ce qui concerne le clavier. Je n’aime ni le martèlement bruyant ni la course courte. Le Magic Keyboard d’Apple s’y prête bien. J’accorde beaucoup plus d’importance au support pour les poignets, car je passe vraiment beaucoup de temps devant l’ordinateur. Depuis que j’utilise le Speedlink Sateen, je ne ressens plus aucun signe de fatigue. Et depuis que j’ai testé pour la première fois une souris verticale il y a une dizaine d’années, je n’utilise plus que des souris verticales de ce type. Actuellement, j’utilise la Logitech Lift. Il faut un peu de temps pour s’y habituer, mais les articulations s’en voient préservées. Depuis, je n’ai plus jamais ressenti le syndrome de la souris.
L’accessoire le plus extravagant est peut-être la webcam. Je mise ici sur l’iPhone 15 Pro. Il peut être contrôlé sans fil par le Mac comme une caméra, ce qui fonctionne généralement bien. Ce n’est qu’en combinaison avec Microsoft Teams que j’ai parfois des problèmes et que je lutte contre les bugs.
Le plus grand défi est de trouver un support adapté à la « webcam ». Il doit en effet pouvoir être incliné des deux côtés pour pouvoir me filmer facilement avec la caméra principale. Le chargeur sans fil Qi2 de Belkin s’y prête parfaitement.
J’utilise également mon Zhiyun Molus G60 pour éclairer les appels vidéo ; il est placé à côté du bureau, prêt à être utilisé à tout moment.
Outre les cadeaux peints de ma fille, la perche imprimée en 3D me rappelle qu’il y a une vie à côté du travail. Elle me rappelle mon passe-temps favori.
Ce qui n’a pas le droit de manquer sur mon bureau quand je travaille, c’est un verre de Coca Zero. C’est ma nourriture pour les nerfs, mon remontant et ma motivation quand un texte n’avance pas aussi vite que prévu. Oh, mais j’arrive à la fin de cet article... C’est parfait, j’ai encore le temps d’aller faire un petit tour au lac !
Si vous avez manqué les derniers épisodes de notre série sur les bureaux, les voici :
Les gadgets sont ma passion - qu'ils soient utilisés pour le bureau à domicile, pour le ménage, pour le sport et le divertissement ou pour la maison intelligente. Ou bien sûr aussi pour le grand hobby en dehors de la famille, à savoir la pêche.