Le carnet se présente dans un design attrayant, idéal pour des dessins et des embellissements individuels. Il comprend 64 pages, dont les 16 dernières sont détachables. Le papier est sans acide, et la couverture dispose d'une large poche pour des feuilles volantes. Le cahier est proposé en set de 3 et est disponible en différentes couleurs et tailles. Le nom provient de l'écrivain britannique Bruce Chatwin, qui préférait les simples carnets noirs d'une papeterie française à Tours pour son travail et les appelait affectueusement Moleskine (peau de taupe). En 1997, ce carnet anonyme, qui avait été le support de croquis et d'histoires de nombreux artistes et intellectuels, a été redonné vie par un éditeur milanais. Il a choisi le nom Moleskine, inspiré par la littérature.